Je suis brillante, vous ne le saviez pas ?

Et voilà, c’est parti pour la grande aventure de l’entrepreunariat.

Et cette fois-ci je ne suis pas seule car j’ai la chance de travailler avec 3 autres personnes et accompagné (et financé) par une grande entreprise ! Je vous en dirai un peu plus sur notre activité au fil de l’eau de nos avancées.

Alors voilà, je suis intrapreneur… Mais qu’est-ce donc que cela veut dire ?

D’abord la définition que j’ai trouvée sur portail-des-pme.fr :

« L’intrapreneur est le membre d’une grande entreprise qui, en accord avec elle et tout en restant salarié de son entreprise, possède un projet viable intéressant l’entreprise et qu’il peut réaliser en son sein. Il est celui qui transforme une idée en activité rentable au sein d’une organisation. » Advencia, avril 2008

Ok; mais cela veut-il dire que le profil des salariés se lançant dans l’intrapreneuriat est particulier ? (bon j’oriente un peu dans la question, mais c’est pour les besoins de la construction de cet article, alors j’ai le droit !)

Et voici un élément de réponse (toujours tiré de ma lecture sur portail-des-pme.fr) :

  « (…) les différences majeures entre le manager et l’entrepreneur. L’intrapreneur se différencie du manager par l’orientation de ses modes de fonctionnement en manifestant un mouvement de recul afin de se rendre plus autonome, d’augmenter son degré d’initiative et de fortes implications personnelles dans la mise en œuvre de son projet, pour une meilleure gestion de la tâche d’intrepreneur qu’il s’est donnée ».

J’ai même lu quelque part (mais je ne sais plus où) que l’intrapreneur est un tantinet trublion. Je me reconnais bien dans ce terme (et j’adore la consonance de ce mot !).

Et oui ! Il ne suffit pas de dire que l’on veut penser en dehors de la boîte (outside the box), il faut carrément la virer cette box si on veut faire bouger les lignes (concept intéressant et totalement flou).

Et voilà, l’aventure commence, mais avant de me lancer dans un récit suivi de cette nouvelle vie, un petit retour en arrière s’impose.

Nous avons donc été sélectionnés parmi 126 dossiers déposés pour monter notre start-up. 1 demi-finale (avec 29 autres dossiers reçus), 1 formation sur l’innovation par l’opportunité et 1 finale (avec les 9 autres finalistes) plus tard, nous sommes prêt.e.s à lancer notre business !

Pour le moment nous en sommes à poser les bases de notre offre de service, réfléchir à la communication, travailler sur le cahier des charges techniques et surtout la fameuse étude de marché.

Nous travaillons donc sur notre feuille de route, le planning est chargé et très ambitieux mais l’envie de se jeter dans le grand bain est bien là. Et nous avons bien conscience de la chance qui nous est donné de pouvoir monter notre entreprise, sans avoir à lever des fonds, rechercher des investisseurs. C’est top !

Stay tuned pour la suite de nos folles aventures.